Jour 1 - Est

Jour 1 - Est

“ Expiation - 175ème éditiions des Hunger Games

Explications
Que le sort vous soit favorable...
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Ce sujet sera ouvert durant toute la journée n°1 de l'arène, comptant pour 1 semaine irl (du 07/04 au 14/04). Il permettra à tous les personnages qui se trouvent dans cette zone de pouvoir rp à la suite de ce message.

En ce qui concerne les règles de déplacement ainsi que toutes les autres règles de l'arène, vous les retrouverez toutes ici.

Bon jeu à tous !

Vivre ou survivre ?

Jour 1 - Zone rocheuse plane - Est
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I know I've got a face in me points out all my mistakes to me. You've got a face on the inside too and your paranoia's probably worse. I don't know what set me off first but I know what I can't stand. Everybody acts like the fact of the matter is. I can't add up to what you can but everybody has a face that they hold inside. A face that awakes when I close my eyes ; a face watches every time they lie ; a face that laughs every time they fall (and watches everything).
So you know that when it's time to sink or swim that the face inside is watching you too, right inside your skin... ▲ Linkin Park

Nous n’avions pas encore atteint la zone marécageuse, pourtant bien visible avec ses arbres immenses, quand le ciel commença à se couvrir de nuages.
Epuisés physiquement et moralement, harassés par nos petits égratignures et la fatigue, désireux d’économiser cette salive qui se raréfiait, nous n’avions pas échangé un mot. Même pas un regard, mais ça c’était ma faute : la culpabilité n’arrêtait pas de me ronger, insatiable, et je ne me sentais pas la force de voir ses yeux accusateurs. J’avais employé la plus efficace de mes techniques pour ne pas y penser : me fixer un objectif, plus concret que de ne simplement pas mourir. Dans le cas présent, c’était retrouver le District Six.
Retrouver le Six. La suite, nous verrions le moment venu. L’avant était passé et devait être oublié.
Nous avions donc inlassablement marché. Et nous nous étions inlassablement tus.
Lorsque le soleil se masqua un peu plus violemment que si la nuit était en train de tomber, je levai les yeux vers lui et fixai les sombres nuages qui se dessinaient. Mes sourcils se froncèrent. Un orage ? Voilà qui un doute en moi quant à entrer dans la zone marécageuse, remplie d’arbres et d’eau. Je me stoppai, prête à partager mes craintes avec mon co-tribut, quand une première goutte me tomba sur la tête. Puis une seconde. Et ce fut l’averse.
Un soupir franchit soudain mes lèvres qui furent tentées de s’ouvrir pour boire à grandes gorgées de cette eau. Mais je n’en fis rien, me demandant si c’était une si bonne idée… L’eau pouvait être polluée. Elle l’était bien, dans nos Districts. Cela n’empêchait pas son contact d’être agréable et rafraîchissant, tellement rafraîchissant… Je fermai les yeux et tendis mon visage vers le ciel.

« Je ne sais pas si c’est… », déclarai-je au bout d’un moment.

Un éclair arrêta ma phrase tandis que je me tournai vers Adam. L’eau commençait déjà à se raréfiait, et lui en avait profité, la buvant à grandes gorgées. Pendant un moment, je me demandai si je n’aurais moi non plus pas dû en profiter. Mais l’averse s’était déjà arrêtée.

©clever love.

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D5 - Adam

Amy et moi avions continué à avancer. J’espérais qu’on allait bientôt tomber sur le district 6 car ça permettrait de nous rassurer tous les deux à n’en pas douter. Mais alors qu’on avançait, il commença à pleuvoir. Je levai les yeux au ciel un instant … Quelle aubaine !! C’était super ! Je mourrais de soif depuis notre sprint à la corne, et je doutais de trouver de l’eau avant longtemps … Cependant je n’étais pas idiot … J’avais tendu ma main et laisser la pluie tomber dessus quelques secondes au cas où elle serait acide et brûlerait ma peau ou je ne sais quoi mais … Rien. Après quelques instants d’hésitation, j’ouvris la bouche pour accueillir avec un plaisir non dissimulé la précieuse eau et je poussais un soupir de soulagement. C’était si agréable … Soudain Amy commença à parler …

« Je ne sais pas si c’est… »

Je la fixai. Qu’est-ce qu’elle faisait ? Elle voyait bien que l’eau était potable, il fallait en profiter … Mais alors que j’allais le lui dire, l’eau s’arrêta de tomber du ciel … Il était trop tard.

« Amy, tu aurais du boire ! »

Mais alors que je terminai ma phrase, je sentis de terrible démangeaisons sur mon corps … Je commençai à me gratter les bras lorsque de grosses cloques apparurent. La démangeaison devint alors terriblement insupportable … Je relevai les yeux vers Amy, impuissant. Je n’avais aucune idée de ce qu’il fallait faire mais Amy, qui était presque docteur, elle aurait peut-être une idée. Alors je plongeais mes grands yeux désespérés dans les siens avant de demander…

« Amy, qu’est-ce que je fais ? »

« Adam - District 5 est dans la zone rocheuse - Est »

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Jour 1 - Zone rocheuse plane - Est

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Je gardais les yeux levés vers le ciel, ignorant le reproche que me faisait Adam, fixant les nuages qui repartaient aussi rapidement qu’ils étaient arrivés. C’était définitivement étrange. Trop étrange. Je ne comprenais pas l’intérêt d’une pluie éclaire, qui nous avait nettoyés du sable et rafraîchi les esprits. Certains, peut-être plus opportunistes ou intelligents que moi, en avaient sûrement profité pour calmer leur soif quand je regardais bêtement les cieux.
Adam se mit soudain à bouger de manière frénétique, et je me tournai vers lui pour lui indiquer d’avancer. Mon expression se figea quand je vis, répandus sur toute sa peau, des furoncles. Et d’autres qui apparaissaient.
Cette pluie avait été un piège.

« Amy, qu’est-ce que je fais ? »

Ses yeux s’étaient plongés dans les miens et me supplièrent de l’aider. Je pris une profonde inspiration et déglutis un coup, calmant le stress qui montait en moi. Ca, je connaissais. Ma mère avait déjà vu passer des personnes atteintes de furoncles, mais c’était le plus souvent un bouton isolé et jamais dû à de l’eau non potable.

« Calme-toi Adam, ce n’est rien de grave… Ne te gratte surtout pas ! »

Je jetai un regard alentour. Le soleil était revenu, disparaissant doucement à l’horizon, mais cela me permettait d’y voir un peu quelque chose. La nuit tombait : je ne devais pas traîner.

« Attends… »

Mes yeux étaient accrochés à quelques brins d’herbe qui perçaient entre les grains de sable. Je m’avançai vers eux et, m’agenouillant à leur niveau, je cueillis l’une des branches à sa base avant de la porter à mon nez, espérant que je ne trompais pas dans mon diagnostic. De l’armoise. Parmi toutes ses propriétés, cette plante était également un antiseptique efficace, si seulement j’avais la capacité d’en faire un cataplasme. Or, je manquais de temps mais surtout d’équipements…
Une idée me traversa l’esprit et je joignis à mon paquet d’armoise du sable.

« Frotte, » déclarai-je à Adam en lui mettant mon armoise dans les mains.

Je compris qu’il fallait que j’explique plus.

« C’est de l’armoise, une plante antiseptique. J’ai mis un peu de sable dedans, pour l’écraser pendant que tu frottes, mais n’y va pas trop fort… les furoncles ne doivent pas éclater. »

©clever love.

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Adam avait beau frotter, rien ne changeait. Bien au contraire : les furoncles rougissaient à vue d’œil et d’autres continuaient à pousser. Je commençais à me poser des questions, à ne pas comprendre ce qui se passait : pourtant, l’armoise soignait bien et je la connaissais. Ma mère l’utilisait à la pharmacie, préparée en cataplasme et appliquée localement. Là, avec les moyens pitoyables que j’avais utilisés : du sable. Je l’imaginais déjà en train de me hurler dessus, et les outils qui m’attendaient là-bas me laissèrent hagarde…
Ma mère aurait su quoi faire. Moi, j’étais seule, livrée à moi-même, et sans aucun instrument à ma portée. Mais je savais qu’elle aurait fait mieux, c’était ça le pire, sans aucun stress.
S’il te plaît, aide-moi.
Etait-ce ma plainte inconsciente lancée à ma mère, ou les yeux implorant qu’Adam me lançait ?
Je repris des feuilles d’armoise et, sans réfléchir, les fourrai dans mon soutien gorge. Le temps de trouver un sac ou une poche, et sachant que j’en aurais sûrement besoin, il me fallait les mains libres. Je réfléchis. Et une idée me traversa l’esprit.
Sans plus traîner, je déchirai un pan du bas de mon débardeur, avant d’en profiter pour l’enfoncer dans le sable chaud. Attendant qu’il devienne réellement chaud, ce qui fut facilité par son humidité, je le tendais à Adam.

« Pose-le sur tes furoncles. S’il est froid, enterre-le jusqu’à ce qu’il se soit réchauffé. »

Je ne voulais pas regarder ; je me détournai de mon compagnon et je continuais à cueillir de l’armoise. Je n’avais pas envie d’abandonner l’idée de passer un cataplasme, de désinfecter quoi qu’il puisse arriver. C’était le moins que je devais à mon ami, étant bien incapable de passer un baume sur son cœur.
Je fis à nouveau frotter les grains de sable contre les plantes et, lorsque je sentis un peu de jus en couler, j’arrêtais, attendez de voir si chauffer les furoncles était utile.

©clever love.

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Fin du Jour 1

“ Expiation - 175ème éditiions des Hunger Games

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Dans le ciel de la nuit...
Que le sort vous soit favorable...
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Il est déjà tard quand le soleil décline peu à peu à l'horizon. Les tributs n'ont plus que quelques minutes pour chercher un abri avant les quelques heures nocturnes qui leur seront accordées : des heures destinées à un repos salutaire après cette première journée mais temps aussi durant lequel toutes les traques et autres pièges restent possibles. Même lorsque les ombres apparaissent, aucun répit ne leur est permis et les images qui vont bientôt apparaître dans le ciel en sont la preuve...

La nuit est totalement tombée à présent. Seuls les bruits de la nature si spéciale de cette arène de l'Expiation se font entendre quand soudain résonne l'hymne du Capitole. Même durant cette édition particulière, les rituels propres aux Jeux demeurent inchangés... C'est ainsi que dans le ciel sombre, des visages se succèdent. Tous sont jeunes, avaient l'avenir devant eux. Mais ils ne sont plus là.

Chaque tribut contemple cette apparition en se demandant si son portrait figurera bientôt lui aussi parmi les étoiles. Cette incertitude est aussi douloureuse que leurs muscles qui les tiraillent à la fin de cette première journée de fuite ou de traque... Mais ce soir, pour l'instant, ils sont encore en vie et vont devoir tout faire pour le rester. Presque une première journée sans embuche pour eux...

Pourtant, un élément inexpliqué réveille l'attention de chacun : la musique du Capitole continue à retentir alors qu'elle aurait déjà dû se terminer dès la fin de la diffusion des tributs disparus. Elle se prolonge dans les airs, avec ses sonorités dures et rythmiques quand soudain une voix s'élève féminine suraiguë s'élève, celle de Selena Blewstone :

- Chers tributs, en cette année d'Expiation, les Juges ont décidé de vous lier pour le meilleur et pour le pire. Certains mentors ont souhaité partager ce plaisir de l'arène avec vous, d'autres se sont...défilés ! dit-elle en gloussant sur ce dernier mot. Il est maintenant venu le temps pour eux de sceller le destin d'un de leurs tributs. Chaque soir, je tirerai de ma main innocente deux équipes dont le mentor devra répondre à une question fatidique... Mais découvrez le choix de ce soir...

C'est alors qu'une projection revînt illuminer le ciel. Il s'agissait du Mentor du District Quatre, Oliver Wingston. Il fixait la caméra et une phrase résonna dans l'arène :
- Celui de Thalia Smith. Je choisis de sceller le destin de Thalia Smith.

Son visage s'effaça en laissant place à celui d'une jeune femme aux cheveux blonds, presque blancs et dont le visage ne trahissait aucune émotion particulière :
- Moi Zatanah, mentor du district huit scelle le destin de Maxim Lower. prononça-t-elle solennellement.

Puis les images diffusées en transparence sur le ciel noir disparurent et la voix de Selena se refit entendre un court instant.

- La conséquence ne se fera pas attendre... Que le sort vous soit favorable et à la nuit prochaine pour les plus chanceux !

Les intonations de Selena disparurent et l'hymne du Capitole remplit une dernière fois l'arène avant de disparaître et de laisser les tributs face à leur questionnement et leur incertitude...

HORS RP
Explications
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Voici donc la fin de la première journée de l'Expiation. Nous espérons que vous en avez tous bien profité et que les premières surprises que vous y avez découvertes vous ont plu.

Ce post clôture donc le Jour 1 de l'arène, toutefois comme vous avez pu le lire dans le post rp qui précède nous devons encore vous donner des indications pour certains éléments.

Pour ceux dont les personnages n'auraient toujours pas compris que leur vie était liée à celle de leur co-tribut, ils vont bien entendu pouvoir s'en rendre compte via les portraits diffusés dans le ciel. En effet, il n'est pas difficile de remarquer qu'à part Elina qui était une mentor (et a un donc un statut particulier) tous les tributs morts le sont avec leur co-tribut... Pour peu qu'on ait un minimum d'esprit de déduction, on peut comprendre que le lien déjà découvert pour la vue s'étende bien au-delà. Toutefois, puisque vos personnages ne sont pas tous aussi futés, il vous faudra un certain niveau d’intelligence pour déduire la règle à partir de l'affichage des portraits en duo :

si vous avez 5-6 points d'intelligence : vous pouvez le comprendre dès votre 1er rp après l'affichage des portraits.
si vous avez 3-4 points : vous pouvez le comprendre dès votre 3ème rp après l'affichage des portraits.
si vous avez 1-2 points : vous pouvez le comprendre dès votre 5ème rp après l'affichage des portraits.

Evidemment si vous êtes plus malin que votre co-tribut et qu’il est un peu lent, vous pouvez lui dire. Pour le meilleur et pour le pire …

Pour ce qui est de la seconde règle et de "sceller le destin d'un tribut", vous l'aurez compris à chaque fin de journée deux districts seront tirés au sort et il sera demandé aux mentors sélectionnés de choisir de sceller le destin d'un de leurs tributs. Son choix influera bien entendu sur le jeu du tribut choisi. Néanmoins, pour garder encore un peu de suspens, nous laissons les tributs choisis poster un rp suite à cette diffusion (dans leur zone) et la conséquence du choix sera déclenchée dès ce premier post publié ! En espérant que la surprise vous plaise -mais pas sûr !

Autre élément important, ce message de fin de journée signe la fin de ce que nous considérons comme le Jour 1 de l'arène. De nouveaux sujets vont faire leur apparition dans toutes les sections de l'arène afin de vous permettre de continuer à rp : merci de respecter cette organisation pour que nous sachions bien tous ce qu'il s'est produit le Jour 1 par rapport au Jour 2... Cela évitera les problèmes de cohérence.
Bien entendu, vous êtes libres de continuer à rp en Jour 1 si vous voulez finir une scène importante pour votre personnage. Toutefois, plus aucune attaque n'est désormais autorisée pour le Jour 1, ni soin, ni pose de piège. Nous vous demandons également pour des raisons de timing de privilégier vos rps dans le Jour2 afin que nous puissions avancer dans l'arène !

La nouvelle journée (Jour 2) commencera à l'heure de minuit, vos personnages viendront tout juste d'assister à la conclusion de la première journée.

Pour toute question, n'hésitez pas à contacter un membre du staff par mp. Nous vous aiderons du mieux possible !

Votre staff chéri

D5 - Adam

J’avais continué à frotter les furoncles mais voyant que ça ne faisait qu’empirer mon état, j’avais arrêté. Amy avait tenté de poser des herbes mais cela ne fonctionnait pas davantage. Même elle qui était pourtant douée dans ce domaine paraissait désemparée. Je vis ensuite Amy glisser les feuilles dans son … Woooh ! Je détournai rapidement les yeux. Avait-elle conscience qu’on était filmés et que les vicelards du Capitole devaient s’en mettre plein la vue ? Ses pensées devaient être ailleurs. Je retournai mon regard vers elle alors qu’elle déchirait son T-shirt et le mettait dans le sable avant de le me le tendre.

« Pose-le sur tes furoncles. S’il est froid, enterre-le jusqu’à ce qu’il se soit réchauffé. »

Un bout de T-shirt chaud ? Elle croyait vraiment que ça pouvait faire disparaitre des furoncles ? Après tout c’était elle la pro pas moi. Je fis ce qu’elle dit alors que je continuais de frotter, sans résultat. La démangeaison était vraiment très désagréable … Je me retournai vers Amy qui tentait tant bien que mal de retrouver une idée mais je secouai la tête.

« Laisse tomber Amy, on doit continuer à marcher … Faut qu’on s’éloigne des carrières, on doit continuer … »

J’avais baissé les yeux et avais un peu repris la marche, tout en me grattant frénétiquement. Après quelques temps, la douleur devint vraiment trop insupportable. Je regardai ma main : mes ongles étaient noircis : je m’étais gratté au sang … J’avais besoin de me poser quelques instants.

« Amy, la nuit est en train de tomber, peut-être qu’on pourrait … Se poser un peu ? On a qu’a faire un tour de garde, je dors une heure et toi l’autre, pour pouvoir repartir en forme, tu en penses quoi ? »

La vérité était surtout que j’aurais préféré être endormi quand le visage d’Elina allait s’afficher dans le ciel …

« Adam - District 5 est dans la zone rocheuse - Est »

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