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 [Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie

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Jared G. Kundray
Jared G. Kundray
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★ Âge : 35 ans.
★ Occupation : Rebelle - Barman
☆ Humeur : Très Mauvaise
★ Plat préféré : Poisson frit
☆District : Quatre

○ Points : 295
○ Barre de vie :
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May the odds be ever in your favor
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[Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie Vide
MessageSujet: [Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie   [Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie EmptySam 7 Mai - 23:49


Séparer le bon grain de l'ivraie







Dans quoi s’était-il encore fourré?  Qu’est ce qui avait bien pu lui passer par la tête pour qu’il choisisse d’attirer l’attention des Pacificateurs seul?

Toujours était-il que les agents de la loi étaient désormais  à ses trousses et que le rebelle fuyait à travers les champs à en perdre haleine.

Il était arrivé dans la matinée pour une mission de routine : superviser le vol d’un stock de nourriture puis l’acheminer vers le Treize ; le genre de mission sans grand risques comme il en avait tant fait. Mais cette fois-ci tout ne s’était pas déroulé comme prévu ; sorti de nul part les Pacificateurs leur était tombé dessus et les avaient immédiatement pris pour cible. SI Jared se doutait bien que le Capitole disposait de multiples moyens pour être informé de la teneur d’une mission rebelle , il était assez étonné par l’engagement avec lequel le gouvernement s’était investi dans la contre-intervention ; près d’une dizaine de soldats pour quelques mesures de blé et face à quelques activistes rebelles qui pour la majorité n’étaient même pas des combattants formés , tout au plus des sympathisants.  Et puis ces consignes de tirer à vue… Jared avait plusieurs fois vu la mort le frôler à quelques centimètres .

Le natif du Quatre avait alors pris ses responsabilités de chef de mission en ordonnant aux autres de poursuivre la mission tandis qu’il ferait diversion.  Et pour faire diversion il n’avait pas trouvé meilleur moyen que de s’élancer à découvert à travers champs tout en cirnat rageusement et en tirant dans tous les sens . L’important étant de se faire remarqué et cela avit fonctionné , tout du moins partiellement : près de six Pacificateurs s’étaient élancés à sa poursuite tandis que les autres continuaient à prendre pour cible les sympathisants rebelles qui devaient finir la mission. Mais à présent l’heure n’était vraiment pas propice à penser aux pauvres paysans démuni du  Onze qui se retrouvaient sous les balles : Jared devait fuir pour sa vie car il lui semblait bien que ces abrutis de Pacificateurs l’abattraient sans soucis bien que cet acte précis leur serait sûrement reproché par la suite : les hauts placés connaissaient la valeur d’un activiste comme Jared Gregory Kundray qui pouvait leur fournir de précieuses informations sur les rebelles .  Mais ces pauvres conscrits ignoraient qui ils poursuivaient et portés par l’adrénaline de l’action ils étaient prêt à tuer : Jared ne connaissait que trop bien cette sensation , quand le chaos vous pousser à commettre des actes inhumains qui vous remplissez de satisfaction.

L’ancien basketteur vedette tira à l’aveuglette par-dessus son épaule tout en continuant à avancer tant bien que mal parmi les plants de blé sans chercher à savoir s’il avait fait mouche ou pas.  Son souffle devenait de plus en plus saccadé et ses foulées moins athlétiques ; il n’était pas vraiment en méforme physique mais l’effort réclamé devenait de plus en plus dur à soutenir et il avait assurément perdu d’un peu de sa fraîcheur de sa jeunesse où son agilité et sa vitesse  lui avait valu de nombreux titres sur les parquets du Capitole.  Son pied buta alors sur il ne sut quoi , il ne chercha d’ailleurs nullement à le savoir , et il chuta vers l’avant. Mais le rebelle parvint à se reprendre rapidement en roulant sur l’épaule lors de la réception et en étant aussitôt sur pied.  Un simple coup d’oeil le renseigna sur sa posture incertaine : il perdait du terrain et il devenait évident qu’il ne pourrait plus tenir longtemps à ce jeu là.

Il arriva alors à la hauteur  d’un banc en bois ; il passa au-dessus avant de s’abriter derrière . La protection qu’offrait cette banquette était certes rudimentaire mais c’était déjà mieux que rien ; Jared empoigna son arme et reprit calmement sa respiration qui reprit un rythme normal.  A travers son viseur il distingua quatre adversaires : visiblement ses balles tirées à l’aveuglette avaient fait mouche ou alors certains Pacificateurs traînaient un peu la patte. Il mit en joue un premier et ouvrit le feu au niveau de la gorge là où leur armure les protégeaient le moins : le Pacificateur s’écroula dans un dernier râle. Jared n’était pas du genre à faire dans le sentimentalisme ou idéaliste et il n’avait jamais rechigné à abattre froidement un adversaire : c’était eux ou lui et son choix était vite fait.  Sur le second tir il rata sa cible mais ce ne fut que partie remise puisqu’au coup suivant un autre homme fut mortellement touché .

Le veuf était un fin tireur mais ses ennemis restants continuaient à s’approcher et à le prendre pour cible ; cette fois-ci ces habilités ne risquaient pas de suffire. Il dut se mettre à couvert pour se protéger d’une rafale et lorsqu’il se risqua à un regard il entraperçut un des Pacificateurs lançant un projectile en sa direction : une grenade.
Pris de panique Jared se redressa et s’éloigna au plus vite du banc ; une poignée de secondes plus tard une immense déflagration se fit entendre et le souffle projeta le rebelle quelques mètres plus loin.

Sonné et avec des éclats de métal fichés dans ses jambes , le natif du Quatre mit un certain temps  à reprendre ses esprit et quel ne fut pas son étonnement de voir qu’entretemps les Pacificateurs n’en avaient pas profité pour l’achever ou l’arrêter.  Il se releva tant bien que mal avec un grognement , récupéra son arme qui avait  chue près de lui et claudiqua vers le lieu des affrontements pour tirer ce mystère au clair ; un main bien évidemment toujours posé sur son fusil.

C’est alors qu’il vit , à travers les brumes restantes de l’explosion , une silhouette familière. A ses pieds les deux Pacificateurs étaient effondrés au sol : morts ou assommés.

“Jonathan ! Mais qu'est ce que tu fous là? “
Demanda alors Jared sans prendre  la peine de formuler un remerciement.


 


Dernière édition par Jared G. Kundray le Lun 25 Juil - 10:59, édité 2 fois
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Jonathan C. Gray
« Invité »


[Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie Vide
MessageSujet: Re: [Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie   [Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie EmptySam 16 Juil - 15:56


Séparer le bon grain de l'ivraie
Feat Jared

Une simple mission de reconnaissance au Onze... Voilà ce qu'avait prétendu le chef des rebelles du Onze quand il était arrivé via le Cobra quelques heures plus tôt. Il n'avait qu'à se poster aux frontières du District et observer les déplacements de troupes. Rien de bien compliqué et après tout ce qui se passait en ce moment, un peu de calme lui ferait le plus grand bien. Une radio de fortune pour contacter la base au cas où mais sinon rien ni personne. Seulement lui et le calme de la nature... Il en avait bien besoin... Ce qui s'était passé avec Clarissa, cela ressemblait à un rêve mais non. A chaque doute, il lui suffisait d'aller chercher dans la poche de sa veste, le portrait que la jeune femme avait fait de lui. Il semblait si calme, si vulnérable, ainsi endormi... La finesse de ses traits sur le papier, la quiétude que son visage montrait... Il ne pouvait s'empêcher de penser à Clarissa, à la journée qu'ils avaient passé ensemble et surtout à la sensation de ses lèvres sur les siennes.
Enfin, il n'était pas là pour rêvasser, il avait une mission à faire. Le jeune blondinet était assis sur une branche d'arbre, caché par le feuillage de ce dernier afin de pas être remarqué. N'étant dérangé que par le vent qui soufflait, il s'octroya le luxe de retirer sa capuche afin de sentir le vent sur son visage et surtout pour avoir une meilleure sensibilité.
Son regard balayait la zone à la recherche de tout signe de vie. Pour le moment, il avait aperçu des animaux à seulement un ou deux kilomètres mais nulle trace de camp de Pacificateurs. Si les animaux osaient s'approcher si près des grillages, il ne devait pas y avoir trop de risque non plus.

Il avait encore une heure à attendre avant de faire son rapport quand sa radio se mit à crépiter avant de laisser échapper une voix grave. Une opération avait mal tournée ! Un détournement de nourriture avait été intercepté par les forces de l'ordre et les rebelles étaient traqués à travers la ville. Les Pacificateurs avaient reçu l'ordre de tirer à vue... Cela pourrait finir dans un bain de sang... Surtout que pour ce genre de mission, on envoyait généralement des recrues au vu de la facilité de la mission. Il était évident qu'il voulait faire un exemple en liquidant tout le monde. Jace s'empara de la radio et demanda la position approximative des poursuivants. Le plus gros des troupes semblait se diriger vers un parc public, traquant les rebelles.
Sans attendre, Jonathan remit sa capuche et descendit de l'arbre avec souplesse et légèreté avant de s'engouffrer en courant dans les rues de la ville.
Pas de temps à perdre, il se dirigea vers le premier parc qu'il trouva sur sa route sans grande conviction. Soudainement, un coup de feu retentit et le conforta dans sa position.
Sans un bruit, il se glissa derrière un muret avant de surprendre deux Pacificateurs en train de tirer en direction d'un banc public.

Il n'avait pas d'arme à feu pour les avoir à distance, il allait devoir faire attention. Une seul faux pas et il était criblé de balles. Il fallait guetter l'opportunité et frapper vite ! Il vérifia le mécanisme de sa lame au bras droit et s'arma d'un couteau à la main gauche. Ne pas se précipiter... Ne pas se précipiter... Ne pas... Une grenade ! S'il n'agissait pas maintenant, le rebelle planqué derrière le banc était foutu. Le bruit de l'explosion couvrirait ses pas et la poussière le dissimulerait ! Parfait... Il fallait juste espérer que le rebelle remarquerait la grenade !  
Cette dernière quitta la main de son lanceur et après quelques secondes, elle explosa tout près du banc. C'était sa chance, juste avant l'explosion, il bondit de derrière son muret, parcourut les quelques mètres qui le séparait de ses ennemis et enfonça sa lame secrète dans la nuque de son premier adversaire qui tomba au sol en gargouillant. Le deuxième eut à peine le temps de réagir que son couteau s'enfonça dans sa cage thoracique, perforant son coeur.

D'un coup sec, il retira la lame, la nettoya sur le cadavre et rangea son arme dans son étui à sa ceinture. Méthodiquement, il se baissa pour récupérer les armes, munitions et s'apprêta à fouiller les cadavres. Jonathan fut alors interrompu par l'arrivée d'une silhouette boitillante qui s'avançait dans sa direction. Surement le rebelle blessé ! Il s'arrêta alors de les fouiller pour apercevoir le visage de Jared.


“Jonathan ! Mais qu'est ce que tu fous là? “

Là, on a pas vraiment le temps ! Si on nous surprend avec deux cadavres, on est mort !

Il abaissa alors sa capuche et attrapa le bras de Jared pour le passer derrière son épaule afin de l'aider à marcher. La douleur handicapait Jared et rendit la marche difficile pour les deux compagnons. Il fallait réfléchir vite... Le QG des rebelles était trop loin et emmener Jared là-bas risquait de compromettre toute l'opération ! Jonathan n'avait jamais été formé pour soigner des gens, mieux valait ne rien faire que d'aggraver ses blessures. La meilleure solution semblait encore de se faire passer pour un blessé et d'espérer que tout se passerait bien...

Faut faire quelque chose pour tes jambes... On te fait passer pour un dommage collatéral de l'attaque et les médecins te soigneront. T'en penses quoi ?

Jonathan n'avait pas d'autre solution... Si Jared n'était pas soigné ou découvert, il n'aurait pas d'autre choix que de se débarrasser de lui. Un élément tel que lui serait une trop grande source d'informations pour le Capitole. Jared devait s'en rendre compte également... Il ne pouvait risquer plus que sa propre vie et Jace le lâcherait si cela devenait trop dangereux pour la rébellion. Pour le moment, le jeune homme lui offrait son soutien et aida son compagnon d'armes. Il n'allait pas l'abandonner à son sort sans faire ce qui était en son pouvoir pour l'aider.
 

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Jared G. Kundray
Jared G. Kundray
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MessageSujet: Re: [Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie   [Spécial moi de mai] Séparer le bon grain de l'ivraie EmptyLun 25 Juil - 11:38


Séparer le bon grain de l'ivraie







Après avoir constaté sa blessure, Jonathan s’empressa de soutenir son compagnon d’armes pour l’aider à marcher.


"Faut faire quelque chose pour tes jambes... On te fait passer pour un dommage collatéral de l'attaque et les médecins te soigneront. T'en penses quoi ?"


Jared avisa sa jambe meurtrie et suintante du sang qui s’écoulait des multiples petites plaies dans lesquelles étaient fichés des éclats métalliques. Il fallait les extraire au plus vite et stopper l’hémorragie.

“Non! Je sais bien qu’on est au Onze et que personne ici n'aime les Pacificateurs mais je ne veux courir aucun risque. “


Il laissa échapper un grognement, la douleur était encore vive et sans le soutien et l’aide miraculeuse de Jace il aurait bien été incapable de se déplacer et ce même s’il avait réussi à prendre le meilleur sur ses poursuivants.  

Le barman avisa les deux cadavres qui gisaient juste sous leur nez et sans une seconde d’hésitation, il arma son fusil et tira plusieurs fois dans la tête de l’un d’eux faisant exploser sa boîte crânienne. Du sang et des lambeaux de chair giclèrent subitement et se répandirent dans un rayon de plus d’un mètre autour du Pacificateur. Le rebelle justifia son acte d’une extrême violence gratuite à Jonathan :

“ Ils ne doivent pas savoir comment ces deux là sont morts. S’ils identifient une mort par lame eh bien tu es dans la merde ; crois moi les enquêteurs du Capitole sont très doués et ils pourraient facilement te retrouver. Il faut brouiller les pistes.”

Pour accompagner ces sages paroles, Jared continua à tirer sur les deux soldats déjà morts, visant successivement la tête , le coeur etc. Si bien qu’au bout de quelques dizaines de secondes les deux corps étaient devenus complètement méconnaissables et n’avaient plus grand chose d’humain . La vue de ce spectacle horrifiant et répugnait ne semblait pas gêner un Jared qui avait commis ces atrocités sans ciller.

Prenait-il du plaisir dans la violence ? Pas vraiment, Jared ne se voyait pas comme un sadique psychopathe prenant du plaisir dans la souffrance des autres cependant il ne rechignait jamais  commettre un acte barbare s’il jugeait celui-ci nécessaire, cela ne lui faisait ni chaud ni froid et il n’était pas du genre  à se ressasser les visages de ses victimes dans son lit durant une nuit d’insomnie.

Il donna ses instructions d'une voix que l'on ne pouvait décemment pas qualifier de craintive ou apeurée mais dans laquelle on percevait une pointe de nervosité.

“On va s’approcher de l’hôpital , là-bas tu vas me cacher dans un coin et demander Yana  Fotkisova; c’est une infirmière au service des urgences ici. Dis-lui que Drake a besoin de son aide et conduis là jusqu’à moi. Tu ne la connais pas mais c’est l’un de nos contacts et elle m’aidera.”


Jonathan n’avait assurément  jamais entendu parler d’une infirmière affiliée à la rébellion mais l’heure n’était plus aux questions et il fallait faire vite et ne pas s’attarder par ici.

Alors qu’ils se dirigeaient lentement mais sûrement vers la ville laissant derrière eux le parc public et son effroyable charnier humain; Jared s’adressa  à Jonathan :

“Au fait Jace , merci ...”




 
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