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When you're form Capitol-
Lex est une femme souvent bien trop
sûre d'elle et du pouvoir de son apparence sur les gens, il lui est déjà arrivé de faire les yeux doux à un sponsors pour permettre à ses tributs d'avoir une journée de plus dans l'arène, mais elle sait aussi quand elle doit être
raisonnable et brider ses
caprices bien qu'elle change simplement l'objet de ses désirs pour de moins importants. Dolly considère cela comme un acte raisonnable. Elle aime porter des tenues propres à elle, vous ne risquez donc pas de retrouver la même robe sur elle dans la même soirée sur une autre personne et porté comme elle. Lex est une sorte de
croqueuse d'hommes et dans le mouvement de femmes qu'en elles rentrent dans ses grands critères de beauté. Elle pourrait passer des heures à jouer avec un homme qui n'attend que son feu vert pour enfin la toucher, mais change toujours d'avis lorsque la tension est à son comble,
une garce ? Enfin voyons... bien sûr *sourire publicitaire*. Le fait d'être constamment en contact avec des personnes importantes dans le domaine de la mode et du média elle a développé une aisance à communiquer avec les journalistes et une grande imagination en ce qui concerne les éventuelles excuses à présenter pour ne pas s'attirer les foudres du public.
Les défilés ont surdéveloppés sa confiance en soi ainsi que son
catwalk très atypique qui lui rapporte toujours plus de contrats à durée limité.
Elle n'est
pas du genre à faire la charité, mais ne refuse jamais un bon verre de vin, le rapport : Se sont deux vérités *petit rire*
Dahlia est une véritable
impatiente, elle pourrait presque espionner ses supérieurs pour savoir ce qu'il se trame dans Panem. Son mari vous le dira c'est une véritable
emmerdeuse/gamine avec ses proches, dites-vous juste qu'au moment où elle vous nommera par votre prénom ou raccourcira celui-ci vous serait presque sujet à voir Dolly moi
narcissique,
égocentrique, et bien sûr
méprisante. Mais il aime cela Avallon.
Alors, on devient ami/ennemi ?
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The Beginning-
Lex garde son enfance pour elle, la trouvant barbante et insignifiante comparé à sa vie actuelle alors elle ne s'attarderait pas pour parler de sa mère une ancienne modèle -et amante- d'un artiste peintre qui s'était fait pas mal sur son dos et c'était finalement marié avec une styliste tout juste connue, mais bien plus que sa mère. Pour son père elle dira -avec une certaine fierté- qu'il s'agit d'un légendaire speaker, l'androgyne "Greenie" surnommé ainsi à cause de ses cheveux qui étaient d'un vert acidulé et qui était toujours coiffé à la dernière mode féminine, c'était sa signature tout comme le rouge à lèvre rouge est celle de sa fille accompagnait de son tour de taille unique.
Ses parents c'étaient rencontrés... elle ne sait pas et n'a pas voulu savoir comment son géniteur avait pu perdre son temps avec la pauvre femme qu'étaient sa mère, l'amour maternelle ? Oh oui elle en a eu, même beaucoup, mais elle, adolescente, n'avait pas accepté que sa mère soit si... banale.
A 12 ans Lex aimait se vanter d'être la fille de son père et lorsqu'elle regardait les jeux et voyait des enfants de son âge se désintéressait simplement en attendant juste de voir les commentaires de son père et son collègue. Elle le trouvait beau et trouva tout aussi beau le gagnant de cette 147ème édition effaçant aussitôt son béguin pour le 3 de la 145ème édition. Ce manège dura jusqu'à ses 17 ans elle changer de champion tout les deux ans.
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A teenager... SO immature-
Blonde. Lex était blonde comme le blé, des yeux bleus ternes, un teint pâle, mais délicat et des mensurations qui étaient déjà intéressantes pour son mètre 56 d'adolescente de 17 ans.
85-60-87, de quoi assurer sa carrière décollante de modèle photo pour une marque de prêt-à-porter qui l'avait signé pour trois ans.
Cette nouvelle perspective de la vie avait enchanté Lex qui s'était vue ouvrir des portes qu'elle souhaitera à jamais garder ouverte. Un nouveau copain toutes les deux semaines, une sortie chaque soir, un groupe d'amis au look déjà tape à l'œil et surtout : des litres et des litres d'alcool qu'ils se fournissaient par le biais de leur aînés. Lex passa les trois plus belles années de son adolescence, découvrant où déboucher des amourettes avec des hommes de sept ans ses ainés et d'autre ayant l'âge de son père, seul les femmes de 30 ans et plus l'intéressait pour les cadeaux qu'elles lui faisaient, la pub qu'elles lui fournissaient auprès des stylistes et commerçants indépendantes, le fait qu'elles l'emmenaient avec elles lors de leurs grandes soirées, car même si elle était juste la belle poupée elle pouvait voir le grand monde et interagir avec lui. Derrière cette façade de petite fille Lex préparait sa future place au sein de ce monde alors que son père commençait à faiblir, abandonnant ses costumes tricolores très dénudé sur son corps androgyne qui laissait les rides nuire à son apparence, Greenie avait laissé place à Kal, le citoyen et très vite Kal avait dû dire adieux à l'écran laissant son protégé -un dandy que Lex trouvait stupide à souhait- reprendre sa place.
Au terme de son contrat Lex avait un bon mètre 63 pour 56 kg, un 85-59-87 sur des petits pieds de 36.5 cm elle intégra les rangs d'une agence et épousa le premier homme qui se présenta et ce fut un nouveau riche qui jusque là n'avait pas d'enfant, puis un fils à papa capricieux, une femme avec une perruque rouge sang, des jumeaux l'un mannequin l'autre modéliste -les deux d'affilé-, un millionnaire mourant et
Zazh.
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My Eden, my Avallon.-
Zazh c'était le bon, un homme beau, un homme qui ne la regarde pas comme la fille de Greenie, comme Dolly, il aimait son style décalé, ses cheveux teinté tout de noir, sa peau claire, ses lèvres rouges et sa taille 56, il l'aimait. Elle a cru. Il était fou, détraqué, sévèrement atteint, il la frappa, l'attacha lui fit comprendre ce que douleur voulait dire et c'est par l'intervention de son employeuse inquiète de ne plus la voir que Zazh fut éloigné d'elle. Lex resta caché dans son appartement honteuse de son corps salit et défiguré puis arriva Avallon ; cet homme qui était tout simplement unique dans son style vestimentaire et sociale. Il était venu pour elle, son corps, pour lui rendre son assurance, il avait réparé ses marques redonnant à son corps sa peau parfaite et lui redonna confiance en lui montrant comment il aurait dû être aimé (
non les enfants je ne fais pas de dessins u . u). Son visage fut la chose la plus délicate c'est lorsqu'il étudia un soir, qu'elle trouva une certaine beauté chez lui et elle le pensa à haute voix sous son nez le faisant rire et elle officiellement adorer cet homme.
C'est deux ans plus tard qu'elle sorti et à l'occasion de son retour elle devint l'hôtesse du district 2, c'était principalement sa belle allure et son bon classement dans les personnes connues et appréciés qui lui avait offert le poste. Elle avait 29 ans lorsque Silena fut désigné et quel cas ! Elle la trouva d'abord originale puis bizarre, très étrange et enfin incompréhensive. Lex aura beau eut la conseiller elle laissa tomber après l'interview jugeant cette fillette insociable, indisciplinée, têtue, mais assez folle pour venir à bout d'un carrière et dans la foulée de l'arène. Elle ne fut ni surprise ni insatisfaite en la voyant sortir vainqueur des jeux du haut de ses 15 ans. Aurait-elle aimé la voir morte plutôt que vivante ? Certainement, mais c'était sa première -et jusqu'à maintenant sa seule- championne, elle ne lui cracha pas dessus s'entendant avec le mentor pour la laisser tranquille loin des jeux.
Avec Avallon c'était autre chose, ils se côtoyaient comme de simples civils, mais parfois des égards dans leur relation : crise de jalousie, réticente à laisser l'autre s'engager, dormir ensemble sans rien essayer, se voir dans le plus simple appareils comme cela était normal eurent raisons de leur relation amicale la coulant dans un fossé de disputes qui débouchaient sur des verres vin qui eux donnaient vie à des scènes épiques que personne ne peut raconter mieux qu'Avallon. C'était ce que vous qualifiez de meilleur ami alors que pour elle c'était un stupide plasticien connu pour son travail, son apparence et en qui elle avait toute confiance.
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And now ?-
Le plasticien devint trois ans plus tard son compagnon de route, son ami détestable et adorable à la fois, son Ava, son mari ; celui qu'elle trouvait beau une fois en colère, qu'elle faisait enrager en refusant de s'installer avec lui ou encore en refusant de lui accorder une fidélité sans faille car Lex était devenue une grande adepte du batifolage en connaissance de l'accueil de son conjoint chez elle : dispute, vaisselles brisées, colère, cris, insultes, menace, calme, provocation, verre de vin, bouteille, ivresse et chambre. Elle aime cette relation qui joue sur les nerfs de son mari qui connaît sa femme, mais réagit toujours comme ci il s'agissait de sa première faute. Il aime cela autant qu'elle le provoque, mais jusqu'à quand lui resterait-il fidèle lui ?
Pour son travail Lex a dû prouver que rien ne fut modifié sur elle jusqu'à même menacer de se faire finalement opérer pour les faire taire après tout un 56 qui devient un 51 après 20 ans de service en seulement deux ans d'isolement c'est suspect. La marque dont elle fait la promotion des collections compte parfois sur elle pour les aider à choisir entre les phénomènes et les incontournables ajoutant à cela tous les ans son rôle d'hôtesse qu'elle trouve barbant entre la mentor si peu investit et les carrières pas assez déterminés pour gagner et lui offrir de quoi être fière d'être attaché à se district, mais les actuels tributs lui vendent assez de rêve pour qu'elle s'imagine en retrouver un à la fin -debout de préférence.
Et du haut de ses 40 ans, elle conserve sa peau intacte, les quelques plis sur son visage sont dû à ses sourires ou encore ses expressions faciale très explicites.
-"Regardez-moi bien, car j'ai un conseil à vous donnez : Ne dressez jamais le portrait d'une victime à son numéro, l'être vivant est toujours plus sombre que l'image." - Lex to his tributes.-