Caractère du personnage -  10 lignes minimum
Je possède le cœur sur la main et sera toujours là pour proposer mon épaule pour pleurer. Je déteste voir les gens souffrir, et vivant au district 11, j’en ai malheureusement  l’habitude. Je suis également incapable de dire non à quelqu’un, sauf dans certain cas, mais ne vous méprenez pas. Si j’ai quelque chose à dire, je le dirais haut et fort, sans me gêner, étant assez directe. Mais j’écoute tout de même tous ce que les autres ont à dire d’une bonne oreille, pensant que ça peut toujours être utile.  Je sais aussi rester calme en toute situation, même si quelqu’un me cherche, je me contenterais de lui dire ses quatre vérités en face. Je dirais que mon plus gros défaut et sans doute mon insouciance qui a tendance à m’attirer des ennuis, comme par exemple, pendant mes vols. Si je ne fais pas suffisamment attention, je me ferais surement tuer. Je suis du genre optimiste et essaye toujours de voir le bon côté d’une situation, et aussi d’une personne. Je n’aime pas abandonner et va toujours au bout des choses. Une dernière chose, je souris constamment, au tout du moins presque toujours.

Histoire du personnage -  30 lignes minimum
Depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours vécue seule avec mon père qui a toujours refusé de me parler de la femme à qui je dois la vie, et que je n’ai jamais connu. A-t-elle rejoint le capitole, été tuée par un pacificateur, ou simplement quitté mon père ? Je n’avais aucun moyen de le savoir. Le seul que j’avais avait pris la décision de rester muet. Mon père a sué sang et eau pour me nourrir, m’élever, et me donner tout l’amour dont un enfant avait besoin pour grandir. Chaque soir, en rentrant de l’école, il n’était jamais là. Il travaillait d’arrache pieds pour que l’on réussisse à survivre tous les deux. Pendant des années, je ne le voyais presque pas, pendant qu’il tentait de nous garder en vie, et j’en voulais au capitole qui éloignait mon père de moi, déjà que je n’avais plus de mère. C’est alors que je pris une décision pour l’aider. Environ une fois pas moi, pendant que les pacificateurs ne regardaient pas, je prenais un peu des récoltes avant de filer à toutes vitesses.  Jusqu’à maintenant, j’ai eus de la chance mais j’ignore si cela va continuer éternellement.
Ça a été comme ça pendant très longtemps. Mais je continuais à sourire, comme j’avais l’habitude de le faire. La journée, n’aillant pas la compagnie de mon père très souvent, j’essayais de parler avec le plus de monde possible à l’école. J’ai donc pus me faire un grand nombre d’amis qui semblaient m’apprécier, et c’était réciproque. Comme quoi, allé voir les gens sans raisons, ça avait du bon. Mon père disait que c’était grâce à mon charisme et ma beauté renversante, mais je n’y croyais pas vraiment. Je ne me suis jamais trouvé belle, je n’ai jamais plus à un garçon et vice versa, et je n’ai jamais eus de compliment sur mon physique. Mon corps me plaisait quand même, mais je ne me voyais pas du tout à la tête d’une armée de beaux garçons prêts à tout pour prendre ma défense.
Quand j’atteignis les 12 ans, j’eus la boule au ventre durant toute la journée. Mon nom n’était présent qu’une fois cette année, je n’avais donc que très peu de chance d’être tirée au sort, mais ce n’était pas impossible. Nous avons tous eus peur ce jour fatidique, sauf les carrières ou ceux qui n’ont jamais eus à prendre des tessaeraes. Je ne fus pas prise cette année-là, mais j’avais énormément de peine pour les deux personnes que l’on menait vers une mort certaine. Je pensais à leur famille et amis qui pleureraient pendant des jours sans s’arrêter.
A mes 15 ans, quand je fus en âge de travailler dans les champs, mon père arrêta afin de s’offrir un peu de repos bien mérité, et je pris donc sa place pour travailler. Cela m’a permis de comprendre pourquoi il retrait épuiser tous les soirs. Je dus alors commencer à prendre des tessaeraes, manquant de nourriture pour nous deux, et continua mes vols de fruits et légumes dans le plus grand mystère. Cette vie est insupportable,  le travail est long et rude, et nous sommes surveillés nuit et jour par les pacificateurs. Je me promis que dès que l’occasion se présenterait, je rejoindrais les rebelles contre cette tyrannie. Mais pour l’instant, même en travaillant, je continue à garder le sourire. J’en ais l’habitude après tout.

Ambition du personnage - 10 lignes minimum
Mes ambitions sont simples, et je pense que la plupart des personnes vivant comme moi ont les mêmes. Je souhaite en premier lieu rester en vie avec mon père, et trouver un meilleur moyen pour nous nourrir que de voler la nourriture qui me passe sous la main. Je ne vais probablement pas faire ça éternellement, au risque d’être prise, mais si je ne le faisais pas, je ne sais pas dans quel état physique nous serions mon père et moi. J’avais même pensé un moment à me porter volontaire au Hunger Games comme ça, si je gagnais, nous serions tous les deux tranquilles, et je pourrais peut être donné un peu d’argents à ceux qui en auraient besoin. Mais si je perdais et que je mourrais dans l’arène, qui prendrait soin de mon père ? Qui travaillerais pour le nourrir ? Non, je ne pouvais pas prendre ce risque. J’aimerais aussi aider le plus de monde possible, et devenir une rebelle pour les aider à stopper tout ce cirque. Je suis persuadée que l’on en ait capable et que un jour, nous y parviendrons !