Caractère du personnage -  Ce n'est jamais très évident de se décrire sans se montrer trop narcissique ou sans être trop modeste. Je vais donc tenter de rester objective sur ma personne, mais je ne vous premet rien.

Je suis une femme souriante, j'ai de jolie dents alors je ne me prive pas pour les montrer. On me décrit souvent comme quelqu'un de sympathique. En effet, je ne suis pas le genre de personne à chercher les problèmes, je sais que ses derniers n'ont aucun de mal à me trouver donc je préfère les attendre. Pourtant, je ne suis pas si patiente que ça. Au contraire, si je suis capable de faire preuve d'un grand fainéantisme de temps à autre, je suis aussi quelqu'un de très actif. Sauter, courir partout ou hurler comme une hystérique devant le clin d'oeil d'un beau garçons ne m'effrais pas du tout et pour tout vous avouer... Ca m'arrive un peu souvent. A tel point que certaines personne me crois totalement folle. Mais cela fait partis de mon charme non ?

Vous avez peut-être déjà compris que j'étais légèrement narcissique. Oui, légèrement seulement. Je ne vais pas le nier plus longtemps, j'aime que l'on me fasse des compliments, même si cela me fait souvent rougir. En même temps quelle fille n'aime pas qu'on lui dise qu'elle est belle, gentille et adorable hein ? Si j'accepte les compliments, je sais aussi admettre mes qualités, comme mes défauts. En parlant de défaut, j'ai tendance à tout prendre à la légère. Je vois tout comme un jeu et en plus je suis quelqu'un de très optimiste et ces deux fait associés agacent beaucoup de monde. Surtout à Panem.

J'avoues que je suis un peu manipulatrice parfois, je sais jouer de mon beau sourire, j'ai d'ailleurs vite compris que cela pouvais me sauver la vie, surtout pendant les Hunger Games. Je ne pourrais jamais me décrire comme une personne de totalement honnête, je ne tient pas à me mettre tout le monde à dos, je préfère largement être amie avec tout le monde. Mais cela ne signifie pas que tous ces amis ont ma confiance. En apparence, je suis une fille fragile, mignonne, naïve et tout ce que vous voulez bien. Bon d'accord, je suis peut-être vraiment un peu naïve, mais tout le monde sait que ce n'est qu'une apparence, sinon je n'aurais jamais survécût aux Hunger Games, j'ai bien plus de ressource que je ne le laisse croire et je suis du genre têtue alors gare à vous. Quoique, je ne suis pas si rancunière que ça et je me considèrent même assez ouverte d'esprit, seulement j'aime vivre ma vie comme je l'entends et déteste que l'on se mette sur mon chemin ou m'impose des choix.

Histoire du personnage -  
Je suis née le 27 Janvier 2200 dans le District 2. Jusque là, rien de très exceptionnel. Avant moi, mes parents avaient déjà eut une première fille et quelques années après ma naissances, ils en eurent une troisième. Une famille avec quasiment que des filles, je ne vous dit pas la joie de mon père. Bon d'accord, j'avoues, ce n'est pas vrai mon enfance s'est passée à la perfection si je puis dire. Jamais je n'ai eut faim, jamais je n'ai manqué de quelque chose. Puis je ne m'entendait pas mal avec parents ni avec mes soeurs. Donc tout se passait pour le mieux ! Je sais que vous l'attendez... Oui, je sais vous attendez le "mais" qui viendra briser ce beau petit début de vie.

Cependant (MOUAHAHA ! Je ne mettrai pas de "mais" !), tout ne pouvais pas se passer éternellement tranquillement. En effet, un beau jour je décidai, comme ça, sur un coup de tête sans doute, qu'un jour je participerai aux Hunger Games. C'est ainsi que je suis devenue ce qu'on appelle une carrière. Bien évidemment ce choix ne faisait pas plaisir à mes parents, mais d'un sens, ils se disaient que j'avais plus de chance de survivre si je m'entraînais et si ma grande-soeur avait eut la chance de ne jamais avoir été choisit pour les Hunger Games, je n'aurais peut-être pas cette chance. Personnellement, j'étais encore une enfant, lorsque j'avais fait ce choix. Mais est-ce que j'avais vraiment eu le choix dans le fond ? En tout cas, je ne fut pas déçue.

Mes débuts en temps que carrière étaient désastreux. J'étais petite, menue, faible et donc une piètre combattante. Je ne me débrouillais pas si mal que ça lorsqu'il s'agissait de survit mais pour les combats... C'était affreux ! Mais je m'accrochai ! Ne vous ais-je pas déjà dit que j'étais une fille têtue ? J'avais bien l'intention de réussir. Enfin c'était bien beau d'être motivé. Je continuais tout de même de prendre des coups. Et les autres carrières n'étaient pas des tendres ! Même si nous n'étions que des enfants... Je crois que c'était pire encore, les enfants ont encore moins de pitié var c'est un terme qui leur est encore trop vague. A chaque combat, j'en prenais plein la figure, jusqu'à ce qu'un des entraîneurs, je ne sais pas pourquoi, ait un soudain élan de compassion envers moi. Si je n'ai jamais su la véritable raison de l'entraîneur, j'ai toujours pensé que c'était grâce à mes yeux de chiens battus. Je suis très forte pour ce genre de regard.

Ainsi, un entraîneur s'intéressa à mon inhabilité au combat. En fait, il s'étonnait qu'après uen année en temps que carrière, je n'ai toujours pas trouvé d'arme ou de style de combat de prédilection. Mais que vouliez vous ? J'avais à peine assez de force pour soulever une hache ! L'entraîneur en question fit donc une sorte de... D'analyse il me semble de mes capacités et finit par juger qu'un sport de combat habituel ne me conviendrait jamais. Ce n'est pas une manière de combattre qu'il se décida à m'enseigner, mais une danse. Si je vous cite le nom de capoeira, ça vous dit quelque chose ? Et bien, c'est l'art que l'on m'a enseigné.

Les années passèrent, je n'étais toujours pas la meilleure des carrières, mais j'avais fait des progrès. D'ailleurs j'étais considérée comme la carrière qui aurait le moins de chances de s'en sortir dans l'arène. Le seul domaine dans lequel j'excellais, c'était me faire aimer des autres. Mais malheureusement, ce n'était pas un talent reconnu par les entraîneurs, enfin pas par tous les entraîneurs. Il y en avait un d'entre eux qui avait toujours cru en moi et qui était persuader que je ferais un très bon Tribut. Mon douzième anniversaire, le treizième, le quatorzième, le quinzième, le seizième et le dix-septième passèrent sans que je ne soit une victime de la moisson. Puis la 155ème édition des Hunger Games arriva. Comme chaque année tous les jeunes du District deux étaient réunis, attendant sinistrement que les tributs soit nommés. La présentatrice des jeux tira au sort un petit papier et cita le nom de la première demoiselle choisie. Immédiatemment, tout le monde se retourna vers elle, elle était devenu pâle comme un linge et on pouvait voir ses jambes trembler. Ma petite main s'éleva alors de la foule et je m'écriais :

- Je me porte volontaire !

Ma petite-soeur (pour qui c'était la première moisson) me regarda avec de grand yeux. Elle ne comprenait pas du tout pourquoi je faisais ça. Personnellement, j'avais attendu ce moment pendant des années. J'étais une carrière, j'étais née pour finir dans l'arène et cette année, je sentais que c'était la bonne. J'étais encore jeune, mais je ne voyais pas en quoi c'était un problème, je me sentais prête et mes entraîneurs en avait jugé de même quelques semaines auparavant. Je montai donc sur scène en attendant que le second tribut soit désigné, même si je savais déjà qui serait mon partenaire de combat avant de devenir mon adversaire. Parmis les garçons, il se passa exactement la même chose. La présentatrice tira un nom qu'elle annonça à voix haut et immédiatement une main se leva, un jeune homme se porta volontaire. Il s'agissait d'un carrière aussi, il était âgé de 19 ans et... c'était l'un de mes amis, mais aussi un des carrières les plus prometteurs de notre promotion. En fait, je pene que le choix de nos entraîneurs avait été totalement tactique sur ce coup là. J'étais tellement motivée par les jeux cette année, que je savais qu'une certaine personne avait fait pression sur ses collègue pour m'autoriser à me porter volontaire le jour la moisson. Ainsi, cette même personne n'avait pas du avoir son mot à dire sur le second Tribut donc, ils avaient désigné le meilleur d'entre nous.

Je ne sais pas si il y a des mots qui pourraient décrire à le perfection ce qui s'est passé dans l'arène. Je n'avais jamais raté une édition des Hunger Games à la télé depuis que j'étais en âge de comprendre un minimum. C'était juste terrifiant. Il y avait du sang partout, je ne pouvais faire confiance à personne et... Soudain, je réalisai que les Hunger Games... C'était un peu comme tout Panem, ous n'étions en sécurité nulle part à moi de savoir jouer le jeu. Mes années en temps que carrière ne me servirent pas réellement pour toutes mes techniques de combats et de survie, quoique oui, d'un certain sens, je n'aurais jamais pu survivre sans, mais ce n'est pas ces enseignements qui m'ont mener à la victoire. Je vous avais dit que mon plus grand talent était de me faire aimer non ? Et bien, c'est exactement ce que je fis dans l'arène, je créais des alliances avec les autres tributs et n'hésitai ps à les abandonné dès que je sentais la mort me guetter. Puis, je ne faisais pas que requérir l'attention des tributs, je savais qu'il y avait tout un publique derrière son poste de télévision. J'avais plutôt bien retenu les conseils de mon mentor là dessus... Me faire aimer du publique et des sponsorts. Avec une tête aussi adorable que la mienne, ce ne fut pas compliqué, après il ne restait qu'à jouer un peu la comédie et... Pouf ! Je devîns le tribut favoris et recevais des colis de mes sponsort aux premiers problèmes que je rencontrais.

Certains dirons que ma manière de procéder n'était pas fair-play, je laissais les tributs s'entretuer, pleurais pour les morts et gagnais toute la pitié du publique. Les jours passèrent, les participants diminuaient. Le gars de mon district c'était fait tuer en voulant me protéger et je lui en était reconnaissante. A la fin, il ne restait plus que moi et une fille du 1. A défaut d'attendre que les éléments aient raison de l'autre, nous préférâmes nous affronter directement. Et si je n'avais pas trouvé ce poignard sous ma main juste au bon moment, je ne serais sans doute jamais venu à bout de mon adversaire. Elle était douée au combat, mais j'étais bonne en esquive, elle était plus rapide que moi, mais je trouvai le poignard avant elle et lui planta sans ménagement dans l'oeil gauche. Mon adversaire tomba au sol, il se passa un long instant pendant lequel elle hurlait de douleur, elle eu tun dernier spasme et cessa totalement de bouger. Un dernier coup de canon résonna et je fus nommée Vainqueure de la 155ème édition des Hunger Games.

Les années qui suivirent s'écoulèrent bien plus vite que je ne l'aurait cru. Une fois rentrée chez moi après les jeux, mes parents étaient fières, comme tout les habitants de mon district. J'allais pouvoir habiter dans le village des vainqueurs et je me retrouvais aussi avec de nombreux fan dans tout Panem. Comme tout bon vainqueur, je fis plusieurs tournées dans tous les district et passait pas mal de temps au Capitôle. Mine de rien, j'aimais bien la vie au Capitôle, tout semblait si simple là-bas. Je fus mentor d mon district pendant plusieurs année, jusqu'en 2226, c'est à dire jusqu'à mes 24 ans. Mais il fallait bien que je reconstruise ma vie à côté, je n'allais pas joeur les mentors éternellement, il fallait que je fasse un choix de carrière, de vraie carrière à présent. Oh ! Cela ne fut pas bien compliqué, il y avait peu de choses que je savais faire en dehors de survivre, de me battre et de jouer la comédie. L'artisanat n'était donc pas pour moi. Puis, je n'allais pas devenir architecte ou maçon après tout ce qui c'était passé !

Si vous vous souvenez bien, je n'avais pas appris simplement à me battre, j'avais appris à danser. Une danse qui faisait mal, certes, mais mes divers voyage au Capitôle m'apprirent que je pouvais faire de la danse mon métier. Je me servis donc de ma célébrité pour pouvoir prendre de vrais cours de danse et pour pouvoir me donner en spectacle. Puis la carrière d'actrice s'ouvrit à moi presque naturellement. J'étais belle, à l'aise sur scène et le public m'aimait, que demander de plus ? C'était ça, ou devenir mannequin. Mais ce dernier métier ne me motivait pas trop c'était bien trop... trop calme pour une fille comme moi. J'avais près de vingt-cinq ans lorsque j'apparu de nouveau sur les écrans du Capitôles. Mais je sais parfaitement que si ces dernier m'adore, ou tout du moins, adore l'image que je leur donne de ma personne, ce n'est pas le cas dans tous les autres districts. Beaucoup pensent que j'abuse de ma célébrité, que je suis superficielle et inconsciente de ce qui se passe, mais c'est faux. Je sais. Je sais que les Hunger Games sont une vraie boucherie. Je sais qu'il y a des rebelles qui veulent renverser le Capitôle. Mais je sais aussi que j'aime ma vie telle qu'elle est et que je me fou pas mal de leur avis.

Ambition du personnage -
J'ai pour projet de poursuivre ma carrière professionelle, je sais que certaine personne use de leur célébrité pour avoir une certaine influence sur la politique actuelle, mais ce n'est pas mon cas. Pour le moment, je préfère rester passive et observer calmement ce qu'il se passe autour de moi. Je ne suis pas du genre à foncer dans le tas alors, je suis bien au courant pour la résistance, mais je ne préfère pas prendre parti dès à présent. Malgrés ce que j'ai dit précédemment, je sais que j'ai une position un peu privilégié par rapport à certains qui (excusez l'expression) crèvent la dalle dans le fin fond de leur District. Et il est normal qu'ils en ait marre, il est normal que la population en ait marre de voir leurs enfants se massacré entre eux chaque année alors que cela fait rire les gens du Capitôle. Je respecte donc les valeur des Rebelles, mais désolé, je ne peux pas prendre partis tant que je ne me sente pas impliqué directement, c'est égoïste je sais, mais j'ai une belle vie, je n'ai pas envie de la foutre en l'air à la première occasion. Il ne faut pas croire, j'ai travaillé dur pour en arriver là moi aussi !