Caractère du personnage -  10 lignes minimum
Mon caractère est difficile à cerner. Difficile à cerner, car je suis aussi bien calme qu'imprévisible et puis brûle en moi une flamme de rébellion, qui n'est pas visible aux yeux des autres. De par mon passé, J'ai appris à forger mon caractère, personnes ne me connais réellement mise à part ma famille. Effacer, je me fais toujours discrète, on peut croire que je suis faible et sans défense, mais c'est là qu'est mon arme, les gens n'ont pas peur de moi et ne se méfient pas de moi alors qu'ils devraient me craindre, on dit toujours qu'il faut se méfier de l'eau qui dort, les gens devraient se méfier de moi. De plus, je suis persévérante, je travaille toujours dure et m'entraine souvent pour ainsi être prêtre pour toute attaque. En plus du tir à l'arc, je me débrouille avec le maniement du couteau. Le tir à l'arc, je l'ai découvert dès mon plus jeune âge, le maniement de couteaux est venu après, quand je suis rentrée dans la résistance, il fallait que je sache me défendre avec une autre arme au cas où je viendrais à perdre mon arc, j'avais donc choisi les couteaux. Des personnes de mon entourage me qualifient de douce et dévoué. Malgré tous ces qualités j'ai bien sur des défauts et pour ma présentations je suis bien obliger dans parler, premier défaut je suis bornée et pars moments chiante enfin énervante pardon ^^. Il y a aussi mon léger manque de confiance en moi qui fait que j'ai du mal a avoué mes sentiments. Ma vie, seul, dans ma maison est par moments difficiles, mais toute fois supportable, j'ai donc l'habitude de la solitude.Il ne faut pas s'inquiéter, j'ai aussi un sens de l'humour.

Histoire du personnage -  30 lignes minimum
Mon histoire. Je n'ai pas toujours eu une vie facile. Tout d'abord, notre maison était modeste et abritait peu de meubles. Petite, mon père et ma mère se disputaient assez souvent, avec la pression mise par le capitole, il était assez difficile de rester tranquille. Mon père a dérivé et s'est mis à boire et à trainer dans les bars sans penser à sa famille, mais heureusement, il n'a jamais levé la main sur nous ou sur ma mère ce que je ne lui aurais jamais pardonné. Ma mère pleurait souvent, elle devenait faible et ne mangeait pas beaucoup, mais j'étais toujours là pour la consoler ou mon frère le faisait, on était proche l'un de l'autre. Lorsque ma mère a eu ma sœur tout allait mieux, elle reprenait des forces et mon père avait arrêté de boire. Mais juste au moment où tout allait mieux, deux ans après mon père a eu un accident qui l'a rendu aveugle, il travaillait dans la confection d'engrais pour les champs, une mauvaise manipulation et il a perdu la vue. Ma famille et moi avons appris à vivre avec à s'occuper de lui, dans un premier temps ça a été difficile, on ne savait pas comment si prendre et ma mère était occupée avec le bébé. Et puis dans un deuxième temps, on s'est adapté.
J'avais arrêté l’école  et je me sentais seul, je déambulais dans les rues le regard dans le vide, je ne comprenais pas de réels sens à ma vie, j'étais en quelque sorte perdu. Je partais souvent dans la forêt ou dans les champs où je me sentais bien, je pouvais m'évader le temps d'instant et ne plus penser à rien, c'était magique plus de dictature, plus d'hunger games et même plus de capitole. Avec ce dernier et la dictature mise en place, j'avais appris à me méfier, ce qui ne m'aidait pas beaucoup à me faire d'amis. Je préférais m'entrainer au tir à l'arc ou au lancer de couteaux. Je voulais devenir forte, faire de mes faiblesses une force, ne plus être vulnérable. À ce moment-là, je ne connaissais pas encore la résistance. Je m'entrainais donc souvent, je rentrais les soirs pleins de courbatures et je prenais mon bain.
Il me manquait toujours quelque chose en moi, de la douceur, un sourire et de la joie. J'avais l'impression de n'avoir jamais ri et cela m'attristait. Mais avec Azalea, ma petite sœur, j'avais découvert tous ces choses, j'étais devenue quelqu'un d'autre ! Et je peux même le dire, j'étais devenue quelque part heureuse, je ne regardais plus comme avant ma vie. Azalea était devenue comme un petit ange, je l'aimais tellement, mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, il a fallu que cette lumière dans ma vie s'éteigne. À l'aube de mes 17 ans, Azaela a été tiré au sort pour les hungers games. Je n'avais pas réalisé sur le coup que j'allais la perdre à tout jamais elle avait alors 12 ans et n'avait pas peur, à vrai dire, elle n'avait peur de rien, Azalea était remplie d'un immense courage, mais malheureusement n'avait aucune chance de gagner contre un gros bourru d'un autre district. Sa mort a anéanti tout ce que j'avais, je suffoquais et je n'arrivais plus à respirer. Ma vie avait encore une fois changé du tout au tout, laissant une entaille profonde dans mon cœur et remplit ma tête de haine. La maison était devenue vide sans elle et trop de choses me faisaient penser à elle, trop de souvenirs. J'avais donc décidé alors de me prendre une petite maison, j'y suis resté enfermer pendant des jours, je réfléchissais et j'essayais de comprendre, je pleurais et je me maudissais de pleurer, qu'est-ce qu'aurait pensé Azalea de me voir comme ça ? C'est pour ça que j'ai décidé de vouloir courir jusqu'à ne plus avoir de souffle, vouloir me battre jusqu'à ne plus sentir mes mains et mes pieds.Je voulais me battre pour elle. Aujourd'hui, je regrette de ne pas avoir pris sa place, je revois encore son sourire, ces cheveux blonds et ses yeux bruns, elle était si belle. J'ai redoublé d'efforts et me suis entrainés deux fois plus dures. J'avais peur de perdre cette douceur qu'elle m'avait donnée et qui m'avait aidé à avoir des amis. Alors j'essayais d'être plus sympa avec les autres. Avec la mort d'Azalea est née en moi une flamme, mais pas n'importe laquelle une flamme de rébellion qui ne cesse de grandir chaque jour et chaque heure. Avec cette flamme et mon ambition, j’ai pu avoir le courage nécessaire pour faire un acte de rébellion.
Un jour alors que je me promenais dans le district sans réelle destinations, j’ai vu un homme peindre un mots sur le mur qui n'avait pas l'ère d'enchanter le pacifiquateur juste derrière lui, il allait prendre la fuite quand l’homme la attraper et à commencer à le tabasser avec une matraque, je tremblais je ne savais pas quoi faire ni comment je devais réagir, je revoyais les images de la mort d’azalea et d’un coup tout est partie. Je savais ce que j’avais à faire. Je me suis diriger vers eux, j’ai mis ma capuche et j’ai fait comme si  je passais juste. Au moment où le pacificateur allait donner encore un coup j’ai attrapé son pistolet accrocher à sa ceinture et je lui ai dit :
- Tu bouges, je tire.
Alors que je savais pertinemment que je ne savais pas tirer au pistolet.
- Tu ne devrais pas faire ça petite. Avais répondu l’homme à la matraque.
Puis le coup est partie tout seul dans son épaule. J’avais tiré sur quelqu’un ! Je n’en revenais pas. Il s’est écroulé,  j’ai pris le tagueur par le bras et on a couru. J’ai pu alors rentrer dans la résistance.
Alors je n'ai un seul message à faire passer au capitole, j'ai toujours obéi à vos règles, toujours souffert de vos jeux ! Maintenant, c'est à vous de souffrir, à vous d'obéir à nos règles ! Nous ne nous laisserons pas faire pas une seconde ! Il est temps d'une rébellion, temps de changement.
Et comme première mission, je dois me rapprocher d'un gars afin qu'il ne vienne pas tout foutre en l'air.

Ambition du personnage - 10 lignes minimum
Mon ambition, J'y ai beaucoup réfléchi, petite, je rêvais de parcourir le monde, de voir d'autres horizons. Je rêvais de changement. Mais tout espoir avait disparu. Maintenant, je sens revenir l'espoir, je sens que les gens reprennent confiance, ne se font plus écraser, la peur se transforme en courage. Le monde divergent, les gens émergent. Aux jours d'aujourd'hui, je veux combattre pour la liberté, je n'en peux plus d'être oppresser, je n'en peux plus de cette dictature. J'ai besoin de vivre. Je veux arrêter les jeux de la faim, je veux que les quelques personnes qui restent et qui sont pour le capitole prennent conscience de l'atrocité de ce jeu, du pays tel qu'il est. Je veux tellement de choses, qui sont tellement importantes pour moi. Même si j'ai accepté la mort de ma sœur, je n'accepterai pas le mort d'autres innocens.
Une fois la rebellions terminer et le monde délivré, je voudrais être heureuse, sourire à la vie fonder une famille. Je compte reprendre la boutique d'herbe médicinale de mon père tombé en ruine pour en faire une salle d'expositions de mon travail et de mes œuvres. Je veux élever mes enfants dans la tranquillité d'un monde sûr.
À mort, le capitole !